Ce dernier mardi soir

Publié le par Barbibeee

C'est mardi, et comme tous les mardis (et les samedi, voire aussi les vendredis), nous sommes allés au pub avec les deux hippies, mon tuteur et Hiroto le japonais. Dès l'heure de l'ouverture, 17h15, nous sommes à notre poste.
 
Ce soir je devais aller faire des courses mais au moment où je finissais ma première pinte (pinte de courtoisie) et déclarais qu'il était l'heure de faire les courses, le hippie m'apportait un demi (de politesse). Ceci me donna le temps de perdre une trentaine de partie de babyfoot. Dépitée nous retourname au bar où mon tuteur s'empressa de commander mon deuxième demi (de bien séance). Bon, faut pas vexer mes hotes, et autour de cacahuètes et chips, la deuxieme pinte descend toute seule.

19h45 : Bon c'est l'heure de rentrer voir mon lapin. Oooohhh non Barbara, tu ne vas pas nous quitter comme ça ! Et mon tuteur de m'apporter une nouvelle pinte. Je ne me sens pas d'attaque pour celle là. Je n'y toucherai pas me dis-je.

22h00 : heure de fermeture du pub de l'Université, ma troisième pinte est descendue. Allez on y va ! déclare Sabina. ON est 5 pour 3 vélos, qu'à cela ne tienne, je monte derrière Sabina et Alex derrière Miha. C'est parti, on fait bien sûr la course. Sabina est hystérique sous mes gloussements extatiques. On ne prend pas la direction de la maison mais celle du Country Girl : un autre pub. On achète des fish and chips en passant histoire de ne pas diner uniquement liquide. Les frites dégoulinent d'huile, c'est le minimum dans notre état. Sabina jure qu'elle ne fumera plus jamais, faudrait boire plus souvent.

23h30 : NOus voila au Country Girl, une quatrième pinte. Je trinque et trempe vaguement mes lèvres par politesse mais ma pinte ne descendra pas plus bas. Les autres ne valent pas plus que moi. Mon tuteur parle sans s'arreter, comme pour ratrapper la semaine où il ne parle jamais. Nous sommes dehors sous les lampes chauffantes. L'interrupteur nous intrigue : mais comment ça marche ??? Alex le tuteur sort ses clés en entreprend de démonter l'interrupteur. Une fois ouvert, on ne voit rien de plus que ce qu'on avait suposé.

00h00 : retour à la maison, une pinte d'eau du robinet et dodo. Les hippies sont dans un sale état. Demain va être dur pour eux.

Vive mon dernier mardi soir.
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S
C'est tellement bien raconté ! J'adore lire tes aventures en terre hostile.
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